Prince :
J'étais arrivé depuis plusieurs jours dans le centre équestre et je n'étais pas sortir de mon box depuis. Un cavalier était venu me chercher au box, Mathias je crois, et m'avait emmener dans un grand manège. Quand on arriva, un autre jeune garçon était présent. Mathias me fit marcher un petit peu avant de me mettre sur la ligne du milieu, vérifier ma sangle et se mettre sur mon dos. Quand le poids du cavalier arriva sur mon dos, je me reculais un peu.
Après avoir fait régler ses étriers, le jeune garçon me mis au pas rênes longues. Le cavalier était calme mais je commençais à stresser. Dans un des coins du manège, j'entendis un bruit et je fit un écart. Mon cavalier avait tenu.
"Du calme."
Si il pensait qu'en me parlant doucement il allait réussir à me calmer il se trompait. Nombreux avait été les cavaliers qui avait essayé de ma calmer, personne, pour le moment, n'avait réussi. Le cavalier raccourci un peu ses rêne et, d'une pression de jambes, me mit au trot. Je me mis au trot, assez rapide. Le jeune cavalier me ralentit un peu mais je mis tout de suite sur la défensif en tirant sur les rênes pour essayer que le jeune garçon les lâches.
Il me fit faire des figures de bases (cercles, voltes, diagonales et doubler) au trot et au pas pour essayer de me détendre. Je commençais à me détendre mais rester tout de même tendu. Mathias me mis sur la piste et me demanda un départ au galop à gauche. Je partis dans un grand galop, comme d'habitude, mais Mathias se redressa et essaya de me ralentir. N'étant pas un méchant poney, je fis se qui me demandait et repassai au petit galop. Il me repassa au trot, me fit faire une volte et repartis au galop mais cette fois-ci à droite. N'étant pas droitier, je galopais tranquillement. Je n'avais jamais aimé galoper à cette main ! Mathias me repassa au pas et me laissais rênes longues
Mathias me fit m'approcher de l'autre garçon et il commencèrent à parler. Je ne comprenait et ne chercher pas vraiment à comprendre. Je n'avais pas travaillé depuis longtemps et rien que cet échauffement avait été physique ! Les cavaliers allaient avoir beaucoup de travail avant de me revoir en forme. Je perdais vite ma musculature et mon endurance mais la gagnez très lentement.
Mathias me remit au trot pendant que son ami installa un parcours au milieu du manège : un slalom assez large suivi de trois barres au sol. Mon cavalier me repassa au pas pour enlever ses étriers, les placer devant la selle et me remettre au trot. Je le sentais taper sur mon dos et cette sensations ne m'étais plus connut. Mon cavalier avait une assez bonne assiette mais mon dos n'était plus adapté, ni même habitué. il fallait vraiment que je me remettes au travail !
Le jeune garçon m'emmena vers le slalom, qui fut un vrai désastre : je n'arrivais plus à plier mon encolure quand il fallait tourner et mon trot changeait de rythme à chaque fois que je passais à côté d'un plot ! Pour les barres au sol se fut le même désastre ! Mon sabots n'arrêtais pas de les toucher, et mon trot était mou. Mathias me fis retourner sur la piste et me fis faire des cercles et des voltes pour essayer de m'assouplir un peu mon encolure et me réveiller.
Il me ramena sur l'exercice. Le slalom se passa un peu mieux mais j'essayais de fuir sur les barres au sol. Mathias, quelque peu déçu, m'arrêta et descendit. Je le poussais affectueusement de la tête. Il me repoussa et me ramena au box.